TIGRE BOCK CÉLÈBRE SES 100 ANS DANS LA BRASSERIE DU TIGRE
Le retour du Tigre
Le Tigre, c’est avant tout une marque de bière, mais également une brasserie ! Elle a été la première recensée à cette adresse en 1795, et par la suite, plusieurs autres brasseries s’y sont installées consécutivement. C’est la famille Hatt qui en 1919 décide de redonner à cette adresse de Strasbourg un coup de neuf. Autrefois appelée Le Grand Tigre, cette brasserie est le lieu de naissance de la bière Tigre Bock (1921).
Pendant plus de 40 ans, Le Grand Tigre était une vraie institution dans la ville alsacienne, avant de mettre la clé sous la porte et de devenir un restaurant universitaire. Disparue depuis les années 1960, en décembre 2018 Le Tigre a rouvert ses portes. Après les événements de ces derniers mois, il a été contraint de fermer.
Des bières exclusives élaborées sur place !
Lors de sa réouverture, le public a pu re-découvrir le style Art Déco de la brasserie, toujours bien présent. Mais désormais, dans sa nouvelle version, Le Tigre se divise en différents espaces : le bar et son comptoir - Le Petit Tigre, le restaurant sous le dôme - Le Grand Tigre, et enfin une terrasse extérieure - le Bockage, sans oublier les Caveaux privatisables. Pour consommer local, on ne peut pas trouver mieux, ni plus près puisque la Tigre Bock est élaborée sur place en suivant les saisons et utilise des houblons alsaciens. Les nombreuses cuves de l’établissement sont installées au niveau du bar, et parmi elles, on peut retrouver les trois brassins permanents : la Tigre Bock IPA, une lager (d’ailleurs en ce moment c’est la lager hoptoberbeer, en référence au houblon et à l’Oktoberfest ;)) et même une Tigre Bock effet Weisen, inspirée des Hefeweizen allemandes.
Deux autres brassins éphémères sont proposés, ils varient en fonction de la saison et de la créativité des maîtres brasseurs. Mais peu importe les saisons et les brasseurs, une chose reste toujours immuable : toutes les bières sont non-filtrées et non pasteurisées. De quoi satisfaire les amateurs.
