Notre démarche d’accompagnement vers une production d’orge responsable est soumise à un cahier des charges strict, contrôlé par un organisme externe indépendant, garant des bonnes pratiques agroécologiques par les agriculteurs. Elle s’articule autour de 5 principes :

• Préserver l’environnement et en particulier favoriser la biodiversité, notamment via la bonne gestion des zones agroécologiques qui concourt au maintien d’une faune et d’une flore riches et variées, la promotion d’assolements diversifiés ou encore le respect de bonnes pratiques de prédation naturelles et de récoltes respectueuses de la faune.

• Favoriser la réduction de l’empreinte carbone grâce à une fertilisation raisonnée basée sur des analyses de sol annuelles, ou encore en favorisant la captation de carbone et la production de biomasse, grâce à des couverts végétaux multi-espèces semés en interculture.

• Garantir une juste rémunération des agriculteurs partenaires et des débouchés valorisés via une prime récompensant la mise en œuvre des engagements de cette filière durable.

• Garantir une qualité optimale par la sélection des meilleures variétés d’orges et le respect de bonnes pratiques durant le maltage, afin de contribuer à une haute qualité brassicole et aromatique.

• Garantir la transparence sur l’origine française et les conditions de productions responsables mises en œuvre du champ au brasseur, en s’appuyant sur la technologie blockchain.

1. Contribuer à préserver la biodiversité dans les champs

Les agriculteurs limitent l’usage d’intrants et de pesticides de synthèse et favorisent le recours à des solutions naturelles de lutte contre les nuisibles en implantant des perchoirs et nichoirs sur nos parcelles. Par ailleurs, ils essayent de préserver la pollinisation naturelle en implantant des ruches à proximité des parcelles cultivées.

2. réduire l’empreinte carbone des activités agricoles

Grâce à une rotation des cultures intégrant des légumineuses, les agriculteurs limitent l’usage d’engrais, car leur production est responsable d’une grande partie des émissions de gaz à effet de serre.

3. adopter une rémunération incitative

Nous proposons systématiquement des contrats longs termes et garantissons un prix minimum d’achat. Nous nous engageons à mettre en place un système de rémunération incitatif à la transition agroécologique.

4. Pr0téger les sols et les ressources en eau

Les agriculteurs limitent l’irrigation et participent à des démarches collectives pour un usage équitable & concerté de la ressource en eau.

Ils limitent l’usage d’engrais azotés & les risques de fuites dans les cours d’eau et nappes phréatiques. Enfin, ils mesurent la qualité des sols et privilégient une gestion durable des terres (rotations…) afin de lutter contre leur appauvrissement.